CINEMA

11 OCTOBRE : Sortie de l'école buissonnière

Le film, "L'École buissonnière", réalisé par Nicolas Vanier, sortira en salle de 11 octobre. 

Un partenariat avec la Fédération nationale de chasse

Pour le monde de la chasse, le partenariat imaginé par la FNC dans le cadre de la promotion du dernier film de Nicolas Vanier est une grande première car cela n’a jamais été fait d’être associé à la promotion d’un film destiné au grand public. Cela provoque encore quelques interrogations qu’il est nécessaire de lever car nos habitudes cynégétiques et cinéphiles sont très éloignées des règles ordinaires des films de grande distribution. "Nous sommes au mieux habitués à travailler dans le cadre de documentaires qui illustrent tout ou partie de notre passion et de nos pratiques et qui sont destinés  à des initiés comme nous, même lorsqu’ils sont réalisés par des opérateurs indépendants" . Ce film n’est en rien un hymne à la chasse et à la pêche mais l’histoire de la transmission de la passion pour la nature entre un braconnier et un jeune garçon venu de la ville. Le meilleur documentaire cynégétique ne bénéficiera jamais de la campagne de promotion de ce film grand public. Il est destiné aux familles et  va plaire parce que c’est une fiction, avec une belle histoire, de belles images et de bons acteurs. Pour réussir il faut aussi répondre à des critères précis avec des bons et des méchants et une intrigue qui garde en haleine un public familial tout en se finissant bien. Le producteur et le distributeur n’ont pas pris des risques financiers considérables pour faire la promotion de la chasse et de la pêche mais pour parler d’une passion nature qui se transmet. Personne ne doit oublier que ce film est d’abord et avant tout une grande production cinématographique qui a nécessité des moyens financiers très conséquents autour d’un réalisateur connu et respecté en la personne de Nicolas Vanier.

Synopsis du film

Paris 1930. Paul n’a toujours eu qu’un seul et même horizon : les hauts murs de l’orphelinat, sévère bâtisse de la banlieue ouvrière parisienne. Confié à une joyeuse dame de la campagne, Célestine, et à son mari, Borel, le garde-chasse un peu raide d’un vaste domaine en Sologne, l’enfant des villes, récalcitrant et buté, arrive dans un monde mystérieux et inquiétant, celui d’une région souveraine et sauvage. L’immense forêt, les étangs embrumés, les landes et les champs, tout ici appartient au comte de la Fresnaye, un veuf taciturne qui vit solitaire dans son manoir. Le comte tolère les braconniers sur le domaine mais Borel les traque sans relâche et s’acharne sur le plus rusé et insaisissable d’entre eux, Totoche.  Au cœur de la féerique Sologne, aux côtés du braconnier, grand amoureux de la nature, Paul va faire l’apprentissage de la vie mais aussi celui de la forêt et de ses secrets.  Un secret encore plus lourd pèse sur le domaine, car Paul n’est pas venu là par hasard …             

Bande annonce 

 

REACTION : Un partenariat avec la fédération

Pour le monde de la chasse, le partenariat imaginé par la FNC dans le cadre de la promotion du dernier film de Nicolas Vanier est une grande première car cela n’a jamais été fait d’être associé à la promotion d’un film destiné au grand public. Cela provoque encore quelques interrogations qu’il est nécessaire de lever car nos habitudes cynégétiques et cinéphiles sont très éloignées des règles ordinaires des films de grande distribution. "Nous sommes au mieux habitués à travailler dans le cadre de documentaires qui illustrent tout ou partie de notre passion et de nos pratiques et qui sont destinés  à des initiés comme nous, même lorsqu’ils sont réalisés par des opérateurs indépendants" . Ce film n’est en rien un hymne à la chasse et à la pêche mais l’histoire de la transmission de la passion pour la nature entre un braconnier et un jeune garçon venu de la ville. Le meilleur documentaire cynégétique ne bénéficiera jamais de la campagne de promotion de ce film grand public. Il est destiné aux familles et  va plaire parce que c’est une fiction, avec une belle histoire, de belles images et de bons acteurs. Pour réussir il faut aussi répondre à des critères précis avec des bons et des méchants et une intrigue qui garde en haleine un public familial tout en se finissant bien. Le producteur et le distributeur n’ont pas pris des risques financiers considérables pour faire la promotion de la chasse et de la pêche mais pour parler d’une passion nature qui se transmet. Personne ne doit oublier que ce film est d’abord et avant tout une grande production cinématographique qui a nécessité des moyens financiers très conséquents autour d’un réalisateur connu et respecté en la personne de Nicolas Vanier.

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